PROFESSIONNEL

 

 

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir ...
           ... Sans jamais oser le demander ...
Qu'est-ce que vos chefs ecrivent sur vous apres votre entretien annuel ?
Voici le Best Of de la Societe Generale !
Les phrases suivantes sont des citations tirees de rapports d'evaluation
individuelle, cuvee 1999 !

- Travaille bien seulement quand il est sous surveillance constante et
  qu'il est coince comme un rat dans un piege.

- Je ne permettrais pas a cet employe de se reproduire.

- Depuis mon dernier rapport, il a atteint le fond et il a commence a
  creuser.

- Elle se fixe des niveaux de performance tres bas et ne les atteint pas
  regulierement.

- Cet employe devrait aller loin; et plus tot il partira, mieux ce sera.

- Cet employe prive un village quelque part, d'un idiot.

- Pas le couteau le plus tranchant du tiroir.

- Un gros ignorant - 144 fois pire qu'un ignorant ordinaire.

- A une memoire photographique, mais avec le capuchon de la lentille
  collee dessus.

- Aussi clair que la banquise en decembre.

- Un organisme unicellulaire le bat sur les tests de QI.

- A donne son cerveau a la Science avant d'en avoir fini avec.

- Est tombe de l'arbre genealogique.

- Les barrieres sont descendue, les lumieres clignotent, mais le train
  n'arrive pas.

- A deux cerveaux: le premier est perdu et l'autre est parti a sa
  recherche.

- Si les cerveaux avaient ete taxes, ils obtiendraient un rabais.

- S'il etait plus stupide, il faudrait l'arroser deux fois par semaine.

- Si vous lui donniez un centime pour chacune de ses pensees, vous
  obtiendriez de la monnaie.

- Si vous vous placez assez proche de lui, vous pouvez entendre l'ocean.

- Certains boivent de la fontaine de la connaissance, lui il ne fait que
  se gargariser.

- C'est dur de croire qu'il a battu un million de spermatozoïdes.

(Merci a lidwine D.)


- Une petite unité de temps ? La milliseconde
- Une petite unité de longueur ? Le millimetre
- Une petite unité d'intelligence ? Le militaire!


Au début de son service militaire, un type se pointe devant le capitaine qui l'interroge sur son métier dans le civil.
- C'est tres simple, dit le type, je suis GLUTIER dans le civil.
- Vous etes quoi ?
- Je suis GLUTIER .... Je fais des GLUS....
- Et ca consiste en quoi ?
- Et bien, heu, c'est a dire que ...., c'est difficile a expliquer, il faudrait que je vous montre, que je vous fasse une démonstration, vous comprendriez mieux...
- Bon, d'accord. Vous avez carte blanche pour me faire un GLU, finit par dire le capitaine.
Le gars se met au travail et exige qu'on lui exécute divers travaux préalables, absolument nécessaires a l'élaboration de son GLU :
- Creusement d'une fosse de 10 m de profondeur, 6m de long, 3 m de large
- Remplissage de cette fosse par de l'eau
- Construction, depuis la fosse, d'un plan incliné bétonné de 100 m de long, 3 degrés de dénivellation
- Construction d'une plate forme bétonnée horizontale a l'autre extrémité du plan incliné (longueur: 50 m)
- Construction d'un plan incliné pour rejoindre le sol, symétrique au premier
- Achat d'un camion neuf de 25 tonnes
Au bout de 2 mois, les spécialistes du Génie ont répondu a toutes ses exigences, le type est pret a faire son GLU.
C'est Dimanche matin, toute la caserne est rassemblée pour assister a cet événement qui rentrera a coup sur dans les anales (ne corrigez pas ma faute d'orthographe, s'il vous plaît) de l'armée francaise.
Il monte dans le camion, le démarre (au quart de tour) le fait monter le plan incliné et vient l'immobiliser au bout de la plate-forme. Puis, il descend du camion et le pousse dans la descente. Le lourd véhicule pénetre dans l'eau et fait :
- SCPLOUFFFFFFF puis GLU, GLU, GLU,......


C'est un cul-de-jatte qui se rend chez son coiffeur.
- Je vous coupe les pattes ?
- Vous voulez mon pied au cul ?
- Ma parole, vous vous êtes levé du pied gauche...
- Si c'est comme ça, je ne remets plus les pieds chez vous !
- Allez... C'était juste pour vous faire marcher...


Le patient entre dans la salle de consultation.
- Docteur, le gens m'ignorent...
Le medecin :
- Personne suivante !


- Docteur, aidez-moi ! Je suis tellement stresse en ce moment que je
  perds mon calme a tout bout de champ avec les gens.
- Expliquez-moi votre probleme.
- Je viens juste de vous le dire, grosse tache !!! Vous etes bouche ou
  quoi, raclure de bidet !!!


LE BETISIER DE LA GENDARMERIE

- Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien a constater.
- Ses explications etaient si embrouillees que nous avons du le relacher
  faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.
- L'homme a menace l'adjudant que si on le prenait sur ce ton, lui aussi
  le prendrait sur ce ton.
- C'est la pluie qui empecha le brigadier de s'apercevoir qu'il s'etait
   mis a neiger.
- Quand le contrevenant a crie : " Espece de gros con ! " dans son dos,
  le brigadier de service a aussitot cru se reconnaître et a verbalise.
- L'homme, qui etait aussi sourd que son epouse, ne semblait pas
  s'entendre tres bien avec elle.
- L'homme niant toute culpabilite, nous l'avons arrete ...
- Le suspect s'est alors decide a passer des aveux complets pour nous
  prouver qu'il n'etait pour rien dans cette affaire.
- L'homme nous declara qu'il avait effectivement frappe son adversaire
  avec la manivelle mais en faisant bien attention a ne pas lui faire mal.
- L'homme avait essaye de cacher l'arme dans ses bottes, malheureusement
  pour lui, il s'agissait d'un fusil dont la longueur depassait.
- Le trou de balle etait si gros que nous avons pu y mettre deux Doigts...
- L'animal n'a fait qu'une bouchee de la carrosserie du vehicule.
- L'homme a insiste pour nous presenter son prejudice qui ne mesurait en
  fait pas plus de dix centimetres...

 

- Le plaignant, visiblement en etat d'ebriete, pretendait s'appeler Jesus
  et signa le formulaire d'une croix.
- Si nos gendarmes n'etaient pas intervenus, le viol n'aurait surement
  jamais eu lieu ...
- Pour finir, l'interpelle avoua le vol ainsi que quelques autres
  meurtres.
- Si l'appel n'a pas obtenu de reponse, c'est qu'il est parvenu au poste
  vendredi en fin de matinee alors que le permanent de service venait de
  partir se coucher comme tous les jours a la meme heure.
- Arrete par les gendarmes, le voleur les a menaces d'appeler la police.
- Il est a noter que les deux vehicules sont entres en collision l'un
  avec l'autre exactement le meme jour.
- En nous priant d'accepter ses excuses, l'homme nous affirma que ses
  injures  etaient bien l'expression de sa pensee et que l'incident
  etait donc clos.
- Malgre un taux d'alcoolemie de 3.8, le conducteur avait garde toute sa
  lucidite pour ecraser l'animal.
- Sous le coup de la colere, l'homme mangea une pomme en ricanant...
- C'est a l'intersection des deux routes que le mur a violemment heurte
  la voiture.
- Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultes.
- Un violent coup de marteau l'avait cloue au lit depuis deux jours.
- Le pendu est mort noye.
- Comme il devait etre pris en charge au plus vite par un asile
  d'alienes, il a ete conduit a la gendarmerie.


Donc, c'est un voyageur de commerce qui passe toute la semaine sur les routes.
Comme tous les vendredi soir, il rentre chez lui. La nuit est bien avancée.
Il est encore au volant et il lui reste pas mal de chemin à faire. Il se trouve
dans un coin paumé, le dernier bled qu'il a traversé est déjà à une bonne
vingtaine de kilomètres, le suivant n'est pas plus proche.
Tout à coup PFFFFFFFFFFFF ! Une roue crève !...
Comme c'est son boulot d'être sur la route et qu'il est organisé, il sait que
sa roue de secours est OK, il se fait pas de soucis et se met en devoir de réparer
ça. Il sort avec sa lampe électrique, chope la roue, puis s'aperçoit qu'il n'a
pas son cric. Effectivement, le week-end précédent, il s'en est servi et ne l'a
pas rangé. Il n'a d'autre alternative que s'armer de courage et de repartir à pied
vers le dernier village qu'il a traversé, où, se souvient-il, se trouve un
garagiste qui devrait pouvoir lui vendre un cric. C'est donc une longue marche qui
l'attend. En plus, c'est l'hiver, une pluie pénétrante commence à tomber et à le
glacer jusqu'aux os. Sa lampe électrique ayant rendu l'âme quelques kilomètres après
son départ, il est dans le noir complet ...

[note de l'auteur : je sais je suis un sadique avec lui, mais après tout c'est moi
qui raconte, héhéhé... ]

Il commence donc à ressasser de noirs pensées, et à se parler à lui même :
- Est-ce qu'au moins cet abruti de garagiste va avoir un cric ?
- Ouais, bien sûr, tous les garages ont des crics. Mais, le mec, il va te voir
  venir, ... dans ta situation, il va au moins t'en demander 500 balles ...
Quelques kilomètres passent, et il continue a rouméguer (terme occitan dont la
sonorité seule suffit à comprendre la signification) :
- Tu parles, il peut même t'en demander 1000 balles, de toutes façons, t'as pas le choix.
Exacerbée par l'absurdité de la situation, par les éléments qui se déchaînent contre
lui, une sourde colère croît en lui au fil des kilomètres, et il continue son dialogue
intérieur :
- T'es complètement à la merci de ce mec. Il peut même te le vendre 2000 balles, son
  cric, et toi, comme un con, t'auras qu'à la fermer et payer ...
Il arrive enfin en vue du bled, et il aperçoit, enfin, l'enseigne du garage. Il
rassemble le peu de forces qui lui restent et force le pas, continuant à rouscailler:
- Tu vas voir que ce connard est capable de t'en demander 3000, 4000 balles. Tu parles,
  c'est pas tous les jours qu'il trouvera un tel pigeon !
Arrivé au portail du garage, il commence à tambouriner. Pas de réponse. Il s'active
derechef pieds et poings contre le portail, une tête hagarde de sommeil se pointe
alors à une fenêtre du premier étage.
Et avant que le garagiste ait eu le temps d'ouvrir la bouche, notre voyageur de commerce,
au comble de la fureur, lui hurle :
- ESPÈCE D'ENCULÉ, TU SAIS OU TU PEUX TE LE FOURRER TON CRIC ?!!!


Un homme entre chez le coiffeur avec un petit garçon. Il se fait
couper les cheveux puis dit au coiffeur :
- Coupez les cheveux du petit, je vais faire une course.
Une heure passe l'homme ne revient pas. Le coiffeur dit au petit
garçon :
- Il revient pas ton papa ?
- C'est pas mon papa, c'est un monsieur qui m'a pris par la main dans
  la rue. Et il m'a dit viens gamin on va se faire couper les cheveux
  à l'oeil...

 

 

 

RETOUR - SOMMAIRE